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Retour sur la soirée de présentation du livre : "Dijon : du canal à la montagne"

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Le 4 Mai 2018 est sorti un livre que j'attendais avec impatience : " Dijon : du Canal à la Montagne" Ce livre c'est quoi ? Cet ouvrage présente l' histoire du quartier "Port du Canal - Bourroches- Valendons" à Dijon. Bouquin que j'ai attendu pendant plus de deux ans, sur une partie de Dijon que j'adore, fait par  les habitants du quartier. Avec les budgets participatifs de la ville (Ça, j'y reviendrai plus tard) Crédit ► Twitter @dijon Mais voila, Premièrement : arrivé à la salle de la MJC Bourroches-Valendons, c'est l' horreur. La salle est comble. Une salle de concert de MJC ? Pour une manifestation de cette ampleur ?  Le gymnase situé à 50 mètres aurait plus fait l'affaire. Quitte à enlever un créneau aux sports se pratiquant ici*. Au moins pour éviter de se donner des coups de coudes tous les 3 dixièmes de seconde. Et accessoirement, de m'éviter une syncope. Deuxièmement : la "gentillesse" de

On y est : la reproduction des cétacés en captivité est interdite en France. Quel avenir pour les parcs et leurs employés ?

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Regardez bien cette image. Elle risque d’être de l'histoire ancienne. Ségolène Royal, Ministre     de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, chargée des Relations internationales sur le climat (Oui, oui, c'est son titre) a publié un arrêté au Journal Officiel qui interdit la reproduction des cétacés en captivité ( Lire le texte ici ).Qu'est ce que cela implique ? La fermeture des parcs aquatiques Cet arrêté signe la mort à court terme des parcs aquatiques. En effet, la génération actuelle d'orques et de dauphins est la dernière à vivre en captivité. Les parcs n'auront plus le droit, après cette génération, d'en avoir de nouveaux, que ce soit par reproduction, échange ou capture. Donc, le Marineland d'Antibes (pour ne citer que lui...) peut craindre de mettre la clé sous la porte.  Et pour les 250 employés ? Les 250 employés du parc, et surtout ceux qui travaillent avec les cétacés seront licenciés et pour cause, leur raison de